Top 10 des métiers bien rémunérés avec peu de formation

Le métier d'agent immobilier consiste à accompagner les particuliers et les entreprises dans l'achat, la vente, la location ou la gestion de biens immobiliers. Les missions de l'agent immobilier incluent la prospection de biens, l'évaluation des biens immobiliers, la rédaction des annonces, la visite des propriétés avec les clients, la négociation des prix, ainsi que l'accompagnement dans les démarches administratives et juridiques. Il doit également être en mesure de conseiller ses clients sur les tendances du marché et sur les aspects techniques des transactions immobilières.

En termes de formation, bien qu'aucun diplôme spécifique ne soit obligatoire, il est fortement recommandé d'avoir suivi une formation diplômante comme : un BTS en Professions Immobilières (Bac+2) ou encore ; une licence professionnelle (bac+2 reconnu bac +3) en gestion et carrière immobilière ; une licence (bac +3) dans les domaines commercial, juridique ou économique ; une licence (bac +3) obtenue dans un institut d'études économiques et juridiques appliquées à la construction et à l'habitat.

Il est également nécessaire d’obtenir une carte professionnelle d’agent immobilier délivrée par la Chambre de Commerce et d’Industrie (CCI). Rendue obligatoire par la loi Hoguet de 1970, elle atteste de la capacité de son détenteur à réaliser diverses transactions sur immeubles : achat, vente, location etc…

La rémunération de l'agent immobilier est souvent composée d'une base fixe, mais l'essentiel de ses revenus provient des commissions sur les ventes réalisées. Ces commissions varient généralement entre 3% et 8% du prix du bien. Ainsi, un agent immobilier peut gagner entre 25 000€ et 80 000€ par an, voire plus, en fonction de son volume de transactions et de sa localisation. Les agents indépendants peuvent percevoir des revenus plus élevés s'ils parviennent à se constituer un portefeuille de clients et à conclure régulièrement des ventes importantes.

L’activité de plombier consiste à installer, réparer et entretenir les systèmes de plomberie, de chauffage et de distribution d'eau dans les bâtiments, qu'ils soient résidentiels, commerciaux ou industriels. Ses missions incluent l'installation de canalisations, la pose de sanitaires (éviers, douches, baignoires), la réparation de fuites, le débouchage de canalisations, ainsi que la mise en place et la maintenance des systèmes de chauffage et de climatisation. Le plombier intervient aussi bien dans les constructions neuves que pour des travaux de rénovation ou des dépannages d'urgence.

Inutile de suivre de longues études pour débuter : des formations dans les lycées professionnels ou des centres spécialisés permettent d'acquérir les compétences de base nécessaires comme : un CAP MIS - monteur en installations sanitaires ; MC (Mention Complémentaire) maintenance en équipement thermique individuel ; MC zinguerie ; ou encore, un BP (brevet professionnel 2 ans après CAP) monteur en installation du génie climatique et sanitaire, un BP métiers de la piscine.

Il existe également des formations plus avancées et des spécialisations en énergies renouvelables comme : un Bac pro MEE (Maintenance et Efficacité Energétique), un Bac pro MFER (Métiers du Froid et des Energies Renouvelables), un Bac pro ICCER (Installateur en Chauffage, Climatisation et Energies Renouvelables) ; un BTS FED (Fluides Energies Domotique), un BTS MS (Maintenance des Systèmes) option systèmes énergétiques et fluidiques…

Un plombier débutant gagne généralement entre 1 800€ et 2 500€ brut par mois. Avec l'expérience, le salaire peut augmenter jusqu'à 3 500€ par mois. Les plombiers à leur compte peuvent gagner davantage en fonction du volume de travail et des contrats signés. Les interventions en urgence ou les spécialités comme la plomberie écologique peuvent aussi permettre d'augmenter significativement les revenus.

Le chauffeur-routier transporte des marchandises sur de longues distances, que ce soit au niveau national ou international, à bord de véhicules lourds tels que des camions ou des semi-remorques. Ses missions incluent le chargement et le déchargement des marchandises, la conduite sur des trajets prédéfinis, le respect des réglementations en matière de transport routier et de sécurité, ainsi que la gestion des documents de livraison. Le chauffeur-routier est également responsable de l'entretien de base de son véhicule et doit parfois veiller à la sécurisation de la cargaison, notamment pour des marchandises sensibles ou dangereuses.

Pour exercer cette profession, un permis de conduire spécifique, le permis C (pour les poids lourds) ou EC (super-lourds) est obligatoire. Il est également nécessaire d’obtenir la FIMO (Formation Initiale Minimum Obligatoire) pour pouvoir transporter des marchandises de manière professionnelle. La FCOS (Formation Continue Obligatoire de Sécurité) doit ensuite être renouvelée régulièrement.

Il est toutefois conseillé d’être titulaire d’un des deux diplômes suivants pour se lancer dans cette profession le plus tôt possible : le CAP Conducteur Routier Marchandises. Cette formation de deux ans est accessible après la 3ème. Les candidats de cette formation sont préparés au passage des permis B, C et E ; ou le Bac Pro Conducteur Transport Routier Marchandises.

Un chauffeur-routier débutant peut espérer un salaire brut compris entre 1 800€ et 2 200€ par mois. Avec de l'expérience et en fonction de la distance parcourue, des types de marchandises transportées (dangereuses ou sensibles) ou des horaires (notamment les déplacements de nuit ou les longues périodes à l'étranger), ce salaire peut grimper à 2 500€ ou 3 000€ par mois, voire plus. Les chauffeurs travaillant pour des entreprises de transport international ou ayant une spécialisation peuvent toucher des primes supplémentaires, augmentant ainsi leurs revenus.

Le téléprospecteur contacte des clients potentiels ou existants par téléphone dans le but de vendre des produits ou services, de fixer des rendez-vous commerciaux ou de réaliser des enquêtes de satisfaction. Les missions du téléprospecteur incluent la gestion d'appels sortants, la présentation d'offres commerciales, la gestion des objections des clients, ainsi que la mise à jour des bases de données clients. Il doit aussi parfois assurer un suivi des prospects pour transformer les contacts en ventes ou en rendez-vous pour les commerciaux sur le terrain. Ce travail exige de solides compétences en communication, de la persévérance et la capacité de travailler sous pression pour atteindre des objectifs chiffrés.

Il est important de souligner que la voix est l'outil principal du téléprospecteur. Il doit donc avoir une excellente élocution et savoir capter l'attention grâce à un discours commercial convaincant et des intonations adaptées. Cela peut être particulièrement difficile lorsqu'il s'agit d'appels non sollicités. Pour faire face aux refus et garder sa motivation sur le long terme, la persévérance et l'optimisme sont des qualités indispensables à développer.

C’est un métier qui ne requiert pas nécessairement de diplôme spécifique. Toutefois, un  bac Pro Métiers du commerce et de la vente, un BTS Négociation et Digitalisation de la Relation Client (NDRC) ou encore un BUT Techniques de commercialisation peuvent constituer des atouts pour bien maîtriser les techniques de vente et de relation client. Les entreprises proposent souvent des formations internes pour initier les nouveaux téléprospecteurs aux produits, aux méthodes de prospection et aux logiciels CRM (gestion de la relation client).

Un téléprospecteur débutant perçoit généralement un salaire brut compris entre 1 500€ et 1 800€ par mois, souvent complété par des primes liées à la performance (nombre de ventes réalisées ou de rendez-vous fixés). Avec de l'expérience, le salaire peut atteindre 2 000€ à 2 500€ par mois, surtout si l’entreprise propose un système de commissionnement attractif.

Longtemps sous-estimée, la profession de ripeur connaît un nouvel engouement, attirant des candidats sensibilisés aux enjeux environnementaux. L'intérêt pour ce métier grandit également grâce à la sécurité de l'emploi offerte par la fonction publique et à une rémunération relativement attractive pour une activité accessible sans diplôme.

Le ripeur, également connu sous le nom d'éboueur, collecte les ordures ménagères et autres déchets urbains pour les acheminer vers des centres de traitement ou de recyclage. Les ripeurs travaillent en équipe avec un conducteur de benne à ordures, parcourant des itinéraires prédéfinis pour ramasser les déchets déposés sur la voie publique ou dans des conteneurs. Les missions incluent la collecte des déchets, la manutention des bacs et sacs-poubelles, le tri des déchets dans certains cas, et le nettoyage de la voie publique si nécessaire. Ce métier demande une bonne condition physique, car il s'agit d'une tâche répétitive et souvent réalisée dans des conditions climatiques variées, parfois tôt le matin ou tard le soir.

Aucun diplôme spécifique n’est requis pour devenir ripeur. Des concours externes sont organisés par les collectivités. Cependant, une bonne condition physique et le sens du travail en équipe sont essentiels. Pour accéder directement à un poste de chauffeur ou de superviseur de collecte, un CAP et un bac pro sont proposés comme le CAP Propreté de l'environnement urbain, collecte et recyclage et le Bac pro Hygiène, propreté, stérilisation.

Un ripeur débutant gagne généralement entre 1 500€ et 1 700€ brut par mois. Ce salaire peut augmenter avec l'expérience et selon la région ou l'employeur (collectivités locales ou entreprises privées). Les ripeurs bénéficient souvent de primes pour le travail en horaires décalés (très tôt le matin ou tard le soir), ainsi que d'avantages sociaux comme les congés supplémentaires ou une retraite anticipée en raison de la pénibilité du métier.

Le wedding planner, ou organisateur de mariages, accompagne les futurs mariés dans la planification et la coordination complète de leur mariage, depuis les premières étapes jusqu'au jour J. Les missions d'un wedding planner incluent la gestion du budget des mariés, la sélection des prestataires (traiteurs, photographes, décorateurs, lieux de réception, etc.), la création d'un planning détaillé, ainsi que la gestion de la logistique le jour de l'événement. Il doit également être capable de conseiller ses clients en matière de tendances, d'assurer la coordination entre tous les intervenants, et de résoudre les imprévus pour que tout se déroule parfaitement. Ce métier exige de solides compétences organisationnelles, une excellente capacité à communiquer, ainsi qu'un sens aigu de la créativité.

Il n’existe pas de diplôme officiel requis pour devenir wedding planner. Toutefois, des formations spécialisées sont proposées par des organismes privés ou des écoles de commerce afin d'acquérir les compétences spécifiques à l'organisation d'événements. Des formations en communication, marketing, gestion de projet ou un BTS Événementiel peuvent également être utiles pour maîtriser les aspects techniques et commerciaux du métier.

Des écoles privées offrent divers parcours de formation axés sur l'organisation d'événements, notamment celle des mariages, avec ou sans certification à la clé. En France, les wedding planners sont souvent des professionnels disposant déjà de quelques années d'expérience dans un domaine lié à l'organisation de mariages, tels qu'un fleuriste souhaitant diversifier son activité, un organisateur de soirées, ou une vendeuse de robes de mariée, par exemple.

Le revenu d’un wedding planner varie fortement en fonction de l’expérience, de la région et du type de clientèle. En général, les wedding planners facturent entre 1 500€ et 4 000€ par mariage en fonction de la complexité de l'événement et des services proposés. Un wedding planner débutant peut gagner environ 20 000€ à 30 000€ par an, tandis qu'un professionnel expérimenté, avec une clientèle haut de gamme, peut générer des revenus bien plus élevés, parfois supérieurs à 50 000€ par an. Les wedding planners indépendants peuvent ajuster leurs tarifs en fonction de leur notoriété et de la taille des mariages qu'ils organisent.

L'activité d'assistante maternelle permet souvent de générer un revenu confortable, en particulier en fonction du nombre d'enfants accueillis à domicile et des conditions d'exercice.

L'assistante maternelle accueille à son domicile ou en Maison d'Assistantes Maternelles (MAM) des enfants en bas âge (généralement de 0 à 3 ans) et veille à leur bien-être, leur sécurité et leur développement. Les missions incluent la préparation des repas, l'accompagnement dans les activités d'éveil (jeux, lecture, activités manuelles), l'aide aux soins d'hygiène (changer les couches, toilette) et la participation à l'apprentissage de l'autonomie (marche, langage, etc.). L’assistante maternelle joue également un rôle important dans le développement affectif et social de l’enfant, en travaillant en étroite collaboration avec les parents pour assurer une continuité éducative.

Pour exercer le métier d'assistant maternel, il faut obligatoirement obtenir un agrément délivré par les services départementaux de la Protection Maternelle et Infantile (PMI). Cet agrément reconnaît à l’assistante maternelle un statut professionnel et atteste que toutes les conditions sont réunies pour l’accueil de jeunes enfants. Il est délivré pour une durée de 5 ans renouvelable. Les assistantes maternelles doivent valider une formation pour obtenir l'agrément. Cette formation est gratuite. Elle est organisée et financée par les services du département. La formation a une durée totale de 120 heures dont la première partie (80 heures) doit être validée avant de pouvoir commencer à accueillir des enfants.

Le diplôme d'État d'auxiliaire de puériculture, le CAP Accompagnant Educatif Petite Enfance (AEPE) et le titre professionnel Assistant maternel - Garde d'enfants préparent au métier d'assistant maternel. Sans être exigés, ces diplômes sont vivement recommandés afin d'obtenir l'agrément du conseil départemental.

La rémunération d'une assistante maternelle dépend du nombre d'enfants gardés et des heures de garde. En fonction du nombre d'enfants pris en charge, le salaire d'une assistante maternelle peut aller du SMIC à plus de 2 000€ brut par mois, selon les conditions d'accueil et la région. Certaines assistantes maternelles, travaillant dans des zones urbaines où la demande est forte ou avec une expérience importante, peuvent atteindre un revenu plus élevé. Par ailleurs, des avantages sociaux comme l’indemnité d’entretien et l'indemnité repas viennent compléter la rémunération.

Le barman prépare et sert des boissons, alcoolisées ou non, dans des bars, restaurants, hôtels ou clubs. Le barman doit savoir préparer une large gamme de cocktails, maîtriser les dosages et techniques de mixologie, tout en offrant un service rapide et de qualité aux clients. En plus de préparer des boissons, ses missions incluent la gestion des stocks, le nettoyage du bar, le conseil aux clients sur les boissons, et parfois l'encaissement. Un bon barman sait aussi créer une ambiance conviviale, tout en étant capable de gérer des situations stressantes, notamment lors de fortes affluences.

Il n’est pas nécessaire d’avoir un diplôme spécifique pour devenir barman, mais des formations comme un CAP commercialisation et services en hôtel-café-restaurant, ou des spécialisations en mixologie, sont recommandées pour acquérir les compétences techniques. De plus, certaines écoles hôtelières proposent des formations plus complètes dans ce domaine. Pour évoluer vers des postes à responsabilités, comme chef barman ou manager de bar, un Bac Pro pro Commercialisation et Services en Restauration ou un BP Barman peuvent être des atouts.

En termes de rémunération, un barman débutant gagne généralement autour de 1 600€ à 1 900€ brut par mois, en fonction du type d'établissement et de la région. Ce salaire peut être complété par des pourboires, souvent importants dans les bars ou les établissements haut de gamme. Avec de l'expérience, un barman expérimenté ou chef barman peut toucher 2 000€ à 2 500€ par mois, voire plus dans des établissements prestigieux ou en milieu urbain. Les horaires de travail sont souvent en soirée et les week-ends, avec un rythme parfois soutenu, notamment lors des événements ou des périodes de forte fréquentation.

La profession de boulanger est l'une des plus prisées pour une reconversion professionnelle. Un bon boulanger peut rapidement obtenir une rémunération élevée. Le boulanger fabrique du pain, des viennoiseries et parfois des pâtisseries. Il prépare la pâte, la façonne et surveille la cuisson pour obtenir des produits de qualité. Ses missions incluent également la gestion des stocks d'ingrédients (farine, levure, beurre, etc.), le respect des normes d'hygiène et de sécurité alimentaire, et parfois l'accueil des clients lorsqu’il travaille dans une boulangerie artisanale. En plus du pain traditionnel, le boulanger peut aussi réaliser des pains spéciaux (aux céréales, complètes, etc.) et des produits de boulangerie (baguettes, croissants, pains au chocolat). Il doit savoir respecter des horaires matinaux pour garantir la fraîcheur des produits et gérer efficacement la cadence de production.

Pour exercer ce métier, il est recommandé de passer un CAP Boulanger, une formation qui dure 2 ans après la classe de troisième et qui enseigne les techniques de fabrication du pain, des viennoiseries, ainsi que les bases de la gestion d'une boulangerie. Il existe également des formations plus poussées comme le Bac Pro Boulanger-Pâtissier ou le Brevet de Maîtrise (BM) pour ceux qui souhaitent devenir artisans et ouvrir leur propre établissement. L'apprentissage et l'alternance sont des voies couramment empruntées pour accéder à ce métier.

Côté rémunération, un boulanger débutant touche environ 1 500 € à 1 800 € brut par mois. Avec de l’expérience, ce salaire peut évoluer pour atteindre 2 000 € à 2 500 € brut par mois. Les boulangers qui se mettent à leur compte peuvent percevoir des revenus plus élevés, en fonction de la taille et du succès de leur établissement. Toutefois, le métier de boulanger est exigeant en termes d'horaires, avec des journées qui commencent souvent très tôt (aux alentours de 4h du matin) et une charge de travail physique importante.

Le développeur web crée et maintient des sites internet, des applications web et des plateformes en ligne. Ses missions incluent la rédaction du code informatique pour concevoir des interfaces, la gestion des bases de données, l'intégration des éléments graphiques, et parfois l’optimisation des performances des sites en termes de rapidité et de sécurité. Le développeur web peut se spécialiser dans le développement front-end (la partie visible par l'utilisateur, design et interaction) ou back-end (la partie cachée, qui gère la logique et les bases de données). Il doit également assurer la compatibilité entre les différents navigateurs et plateformes (ordinateurs, smartphones, tablettes). Travaillant souvent en collaboration avec des designers, chefs de projet, ou spécialistes du marketing digital, le développeur web participe activement à l’élaboration d'un site, de l’idée à sa mise en ligne.

Pour devenir développeur web, il existe plusieurs parcours. Bien que certains autodidactes parviennent à se former grâce à des ressources en ligne, de plus en plus d'employeurs recherchent des développeurs ayant un BTS Services Informatiques aux Organisations (SIO), une licence professionnelle en développement web, ou encore un diplôme d'ingénieur en informatique. De nombreux bootcamps et formations courtes offrent également des programmes intensifs pour apprendre les langages de programmation (HTML, CSS, JavaScript, PHP, Python, etc.). Il est également possible de poursuivre jusqu’au bac+5 en suivant des masters spécialisés en informatique.

Un développeur web débutant gagne généralement entre 2 000€ et 2 800€ brut par mois. Avec l'expérience, ce salaire peut grimper à 3 500€ à 5 000€ brut par mois ou plus, selon les compétences techniques, la spécialisation, et la localisation. Les développeurs en freelance ou qui travaillent sur des projets complexes, notamment en e-commerce ou en cybersécurité, peuvent percevoir des revenus encore plus élevés. Le secteur du développement web étant en pleine expansion, les opportunités de carrière sont nombreuses et les évolutions salariales souvent rapides.